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Mazars
« Construire la sortie de crise : quelles sont les attentes des Français vis-à-vis de l’entreprise ? »
En 2021, la sortie de crise reste à construire.
81% des Français estiment que les entreprises ont le pouvoir de changer les choses pour améliorer la société après la crise.
>> Télécharger le livre blanc <<
En tant qu’entreprise à mission d’intérêt général et partenaire de la transformation des organisations, nous avons estimé qu’il était de notre devoir et de notre responsabilité de contribuer à la réflexion publique qu’implique la sortie de crise à construire.
Cette contribution, nous avons choisi de la matérialiser par la publication d’un livre blanc qui fournirait des clés de lecture à tous ceux qui, comme nous, entendent participer à la relance économique et à la construction du « monde d’après » : un monde prospère et durable.
A nos yeux, la sortie de crise ne se construira pas sans les entreprises, ni sans l’Etat.
Et encore moins sans les Français, que nous avons décidé de consulter.
Mazars a interrogé plus de 2 000 Français via une méthodologie originale qui combine deux études complémentaires : une étude quali-collaborative menée par le cabinet d’études communautaires FreeThinking et une étude quantitative menée par l’institut de sondage Viavoice.
Ce projet a également été coconstruit en interne avec une quinzaine d’associés.
3 chiffres clés :
- 88% des Français pensent qu’il est possible de concilier profit et intérêt général
- 39% des Français estiment que l’organisation du travail est la priorité n°1 des changements à opérer par les entreprises à l’issue de la crise
- 90% des Français pensent qu’il est possible de concilier compétitivité internationale et promotion des savoir-faire locaux
5 grands enseignements :
- Les Français appellent l’entreprise à devenir un acteur de société et à rester exemplaire après la crise.
- Les Français dressent le portrait de l’entreprise qui parviendra à surmonter la crise… et à gagner leur confiance.
- Les Français attendent des entreprises qu’elles favorisent l’intérêt général en conciliant rentabilité et responsabilité.
- Les Français appellent à une profonde transformation du travail, au bénéfice du bien-être des collaborateurs et de la performance de l’entreprise.
- Les Français appellent les entreprises à capitaliser sur l’excellence française et en proposent une redéfinition, plus actuelle.
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