Retrouvez vos collègues et camarades d'études
Enrichissez votre carnet d'adresses
Echangez, Annoncez, Communiquez
Vos contacts connaissent votre futur employeur
Affichez votre expertise : faites-vous chasser
Trouvez vos futurs collaborateurs
Retrouvez vos collègues et camarades d'études
Enrichissez votre carnet d'adresses
Echangez, Annoncez, Communiquez
Vos contacts connaissent votre futur employeur
Affichez votre expertise : faites-vous chasser
Trouvez vos futurs collaborateurs
Publié le 20/05/2020 par Membre anonyme
Certaines écoles étaient préparées à cette situation. Dans les écoles, les échanges à l’étranger font partie intégrante du cursus de nombreux étudiants. Elian Pilvin, Directeur Général de l’EM Normandie, nous raconte :
« Nous avons constitué notre première cellule de crise le 28 décembre puisqu’on a eu des premières remontées d’alerte d’étudiants et collaborateurs qui étaient en Chine. A partir du 6 janvier, nous avons eu une cellule de crise permanente pour traiter l’évolution de la situation du Covid-19 par rapport à nos étudiants en expatriation. »
C’est aussi ce que nous explique Sarah Assaraf, de l’ESCP Business School, qui possède différents campus à l’étranger :
« Nous sommes une école multi-campus. Et notre premier campus à avoir été touché a été celui de Turin en Italie. Cela nous a permis, à Paris, de prendre des automatismes beaucoup plus facilement, et d'arranger les étudiants au mieux, au plus vite. »
Certaines écoles ont dû réagir rapidement compte-tenu de leurs étudiants chinois en France, c’est ce que Marie-Anne Bastide, de l’ESC Clermont BS nous explique :
« Nous avons pris assez tôt des mesures d’information au sein de l’Ecole et du personnel compte tenu du fait qu’environ un tiers de nos étudiants sont internationaux et, notamment, en provenance de Chine. »
Les intervenants au sein des écoles nous expliquent que les grèves en 2019 les avaient préparés à ces différents aléas :
« Nous nous sommes rapidement adaptés à la situation, d’autant que les grèves de décembre nous avaient préparés à l’enseignement en distanciel. Ainsi, nous avons pu maintenir la totalité des cours, soutenances et projets en ligne jusqu’au départ en stage des étudiants. » - Cécile Frankart, Directrice Ionis-STM
« La grève nous avait entraîné à cette situation. Pour faire face à cette crise, nous avons ajouté 15 à 30h cours de soutien fortement recommandés aux étudiants, et nous avons établi des règles adaptées à cette situation inédite. » - Olivier Serq, Directeur ESG Paris
« Je crois que nous gérons la situation de manière assez sereine. Aucune heure de cours n’a été annulée depuis le début du confinement, nous étions préparés aux cours à distance depuis les grèves de décembre. » - Fabrice Vigreux, Collège de Paris
"En effet, plusieurs mesures préventives avaient été mises en œuvre bien avant le début du confinement : distribution de gels hydroalcooliques, affichage des gestes barrières pour se protéger et protéger les autres, diffusion des nouvelles consignes sanitaires… Puis très rapidement, nous avons décidé de passer tous nos cours en distanciel . Nous avons également créé une cellule de crise qui se réunie régulièrement pour suivre l’évolution de la situation sanitaire et mettre en place les actions nécessaires. " - William Hurst, Directeur Général Groupe EDC
« L’enseignement à distance a été mis en place, reposant sur des espaces pédagogiques interactifs. Nous étions relativement prêts, même si la situation a été un accélérateur. » - Jérôme Glachant Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
« On a eu beaucoup de réunions sur le sujet du Covid dès le jeudi soir. On a 3 volets : techniques, corps professoral, et étudiants. Sur l’ensemble des 3 volets, l’objectif était d’être prêt. » - Yves Hinnekint, Directeur général de Talis BS
Gérer cette crise, fut, pour les écoles, un réel défi. Les écoles ont dû prioriser leurs actions afin d’être le plus efficace possible.
C’est ce que Loïck Roche, Directeur de Grenoble EM, a su brillamment faire :
« Cela a été un travail collectif. La procédure était simple, notre priorité numéro 1 était la santé de nos 4 000 étudiants et collaborateurs, la seconde priorité était la sécurité de tous, et dans un troisième temps, dès lors que nous avions pris soin de nos étudiants, il fallait prendre soin de GEM, c’est-à-dire, préparer un plan de relance. »
Luc Roux, Directeur marketing et commercialisation au CFPB, Ecole supérieure de la banque, nous exprime sa volonté de réussite pour l’ensemble de ses apprenants :
« Notre objectif clé est de faire en sorte de conduire à l’examen les apprenants qui sont investis depuis 1 an voire 2 ans, en préservant la qualité des cours pour leur garantir toutes les chances de réussite. »
Ce sentiment est également partagé par Radouane Abdoune, Directeur du Programme Grande Ecole de Kedge Business School: « Ce qui nous importe aujourd’hui est que les progressions pédagogiques et professionnelles ne soient pas impactées tout en s’assurant du respect de notre exigence académique. »
« Favoriser l’échange entre les membres de notre communauté est également essentiel, et on pense notamment aux étudiants internationaux qui n’ont pas pu rentrer chez eux auprès de leur famille avant le confinement. Ainsi, des cafés virtuels 100% dédiés aux étudiants internationaux confinés loin de chez eux sont organisés. » - Fernando Llambias, Neoma BS
Si le sujet vous intéresse, je vous invite à poursuivre la lecture en découvrant les changements professionnels, les facettes du télé travail, l'impact sur le recrutement, et l'après Covid.
PRENEZ SOIN DE VOUS !
©2017 Dogfinance | site réalisé par Maespirit Développeurs | Mentions légales | Conditions d'utilisation | Conditions générales de vente | Politique de confidentialité des données
2 commentaires
Yassiratou SALAMI
Merci
J'aime1 | Répondre | le 07/05/2020
TIMOTE DIABATÉ
Merci
J'aime1 | Répondre | le 09/05/2020